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La vi(ll)e est belle
Cette série explore la ville moderne à travers une tension permanente entre utopie et dystopie. Le traitement colorimétrique y est le langage principal, visant à questionner la place de l’humain dans un environnement urbain en mutation constante.
Ces couleurs éclatantes incarnent la promesse d’un futur radieux, d’une modernité triomphante, presque euphorique. Pourtant, derrière cette surface brillante, on perçoit également le froid, l’artificiel, la déshumanisation. Les couleurs deviennent alors ambiguës : séduisantes mais menaçantes, esthétiques mais étouffantes.

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